Quelques un(e)s de nos adhérents ont développé de réels talents de conteur(se)s et nous somme en mesure de vous proposer un certain nombre de prestations, en fonction du public, pour lequels ces prestations sont sollicitées. Ci-dessous figure l'un des conteurs (ses) de l'association et sa prestation. | ||
Claude Mastre propose : "Quelques pas dans l'enfer de Dante" Claude Mastre, traduction et Franck Courtois, musique. durée :1h Dante s'est égaré dans la sombre forêt des passions. Il y rencontre l'ombre de Virgile, chargée par Béatrice de le guider vers la lumière. Mais il lui faut d'abord descendre…Un aperçu de l'Enfer de Dante : la traduction intégrale des chants I, II, III et V ; partielle du chant IV (transition), et des chants VI et XXXIV (conclusion). Aussi fidèle que possible au poème écrit, cette traduction est destinée à la transmission orale. De la bouche à l'oreille, la voix donne un accès au poème, multiplie dans l'auditoire la possibilité d'une rencontre avec lui, d'une rencontre exigeante. "La Poésie, la chanson et le théâtre ont jalonné discrètement mon parcours −poignée de routes vertes, grises ou bleues. Prenant, s’il le fallait, des chemins de traverse pour garder le cap sur l’essentiel, je me suis retrouvé sur les sentiers du conte, et des histoires qui se chantent et se racontent.. Je marche, l’oreille aux aguets, dans la grande forêt des Paroles." | ||||
Claude Mastre : 1, rue Fontaine 93200 Saint-Denis Tél : 01 49 17 04 37 e-mail : claude.mastre@free.fr | ||||
Claude Mastre propose, en outre : Amours, désirs et diableries Quelques histoires tirées des « Cent Nouvelles Nouvelles », premier recueil de nouvelles de notre littérature, ouvrage anonyme paru dans la deuxième moitié du XVième siècle. Gauloiseries et gaillardises font la ronde autour du désir ; l’enchantement et le tragique de l’Amour font aussi partie de la fête… Des histoires qui dilatent un peu la rate ou serrent un peu le cœur, et qui s’adressent aux adultes et aux adolescents. (1h à 1h30)
Contes de la Barque et du fil de l’Eau …Quelques histoires de Barque et d’Eau… « Je descendais vers le port; des milliers d’hommes étaient là, debout, assis sur des pontons… ou grimpés en haut des mâts … Des milliers d’hommes silencieux, les yeux tournés vers le grand large… » (Melville). Dès qu’il est question de Barque et d’Eau, les contes voisinent avec le mythe ; ils questionnent alors l’étrangeté du monde… Une Barque, visible ou invisible, glisse toujours au fil de l’Eau, au fil des rêves, à la lisière des mystères insondables...( pour repousser plus loin l’énigme du destin ?). Tout public à partir de 7 ans- Durée : 1h.
L’Arbre aux Oiseaux On était encore petits. On ne savait pas que là, près de la source, c’était un Peuplier… Nous, on l’appelait « l’Arbre aux Oiseaux ». Il y en avait des milliers dans le feuillage, tout un village d’oiseaux. Le matin, ils chantaient pour dire bonjour au monde. Notre village à nous était juste à côté. Et la source était belle; on l’appelait « la claire fontaine », comme dans la chanson. Tout public à partir de 5 ans. Durée 1h.
L’Animal, ce n’est pas si Beste S’il y a parfois de l’humain dans l’animal, il y a certainement de l’animal dans l’humain. Le nier ou l’oublier, c’est risquer de confondre ce qui révèle l’animalité avec ce qui relève de la bestialité. On risque alors de rencontrer la bête... Ce spectacle propose quelques histoires adaptées de textes du XVe siècle ou écrites à partir de faits divers médiévaux. Pour adultes et adolescents. Durée : 1h.
Jean de l’Ours Il fut un temps où l’Ours était le roi des animaux. Les hommes, fascinés par sa force brutale et par son aptitude à se dresser debout, voyaient en lui un parent, un ancêtre. Pendant des millénaires, il fut l’objet de rites et de croyances qui sont depuis sortis de nos mémoires. Mais, de Slovénie aux Pyrénées et de nos peluches à notre inconscient, l’Ours rôde encore, ou bien sommeille, tellurique et fraternel... Et notre imaginaire s’ouvre, pour peu qu’un conte le réveille : Jean avait un papa ours, et il grandit tellement vite qu’il devint fort comme un géant. Sa maman était bergère et il parlait comme un humain. On l’envoya donc à l’école... Jusqu’au jour où il partit, passa la frontière du pays de Pamparigouste -le pays du monde à l’envers, et parcourut des kilomètres. Il fit d’époustouflantes rencontres et accomplit de tels exploits qu’on les raconte encore, le soir, dans les chaumières... Tout public à partir de 7 ans. Durée 1h15 La légende du grand amandier Où il est question du pouvoir fou d'un roi, d'une vraie histoire d'amour et de guerre et d'une légende maya, la légende du grand amandier (Légendes su Guatemala de M.A. Asturias). En ce temps-là, les hommes, les arbres et les chemins pouvaient se parler. Les hommes pensaient que les arbres et les chemins étaient vivants comme eux. Et ils pensaient ça tellement fort qu'ils savaient comment l'arbre s'y prend pour devenir un homme… C'était ainsi… | ||